Le rythme de croisière des anecdotes reprend gentiment, après la trêve due au mauvais temps.

Commençons par Coco BEAUDOUX, joueur senior et coach de l'équipe U.18 II.

Jusqu'alors, il s'inscrivait sur les feuilles de match avec sa licence joueur.

Mais, depuis l'instauration de la FMI, le logiciel demande obligatoirement une licence dirigeant.

Pour être en règle, il suffit d'en faire la demande à l'aide des imprimés prévus à cet effet.

Mais Coco, tout fier d'intégrer la caste des dirigeants, se voit déjà  « en haut de l'affiche Â».

C'est ainsi qu'il a même rempli et signé de sa main, la partie réservée au secrétaire !!!

Attention à Yves, son poste est menacé !!!

Certain n'ont pas manqué de relever une légère anomalie dans la dernière convocation féminine.

Parmi les joueuses convoquées : Delphine MOUGET et dans le staff : Delphine BRAGA.

Bien entendu, à l'image de Mr BAYANIS, certain se sont gaussé de cette bourde présidentielle.

En fait, ce subterfuge a l'avantage de présenter une seule personne pour deux postes en restant plausible réglementairement.

C'est une technique très pratique, aussi, quand on veut faire le distinguo entre les différentes facettes d'un même personnage.

Si on prend un exemple concret, tout le monde connaît bien la différence entre coach EMERIC (sérieux dans son rôle d'éducateur) et BAYANIS (habitué des anecdotes).

PourtantÂ…. C'est bien le même individu !!!

A son propos, voici la dernière mésaventure dans laquelle il a entraîné notre ami Armand.

Notons que ce dernier, depuis qu'il fréquente BAYANIS, n'a jamais été autant cité dans les anecdotes.  

Il y a 15 jours, le duo voulant sortir l'apéritif, n'a pas trouvé la clé du casier U.15.

Pourtant, il la gardait dans une cachette tenue secrète et qui démontre une imagination sans borne puisqu'elle était planquée ... dans Â…un autre casier !!!

Catastrophés, ils ont donc prévenu le président que la clé avait été volée !!

Mardi, ce dernier, muni des doubles des clés en sa possession, essayait de sauver ce staff en détresse qui redoutait d'être privé d'apéritif jusqu'à la fin de la saison.

L'espoir fit rapidement place à la déception, car aucune clé ne marchait.

BAYANIS, abattu, se dirigeait tête basse vers le placard lorsqu'il aperçu, gisant sur la carpette …la clé en question.

Une rapide déduction semblait indiquer que la clé avait dû tomber, annulant donc l'éventualité d'un vol.

Une grave accusation, non fondée, qui mettait nos compères dans l'embarras.

Pour sauver la face, Armand tenta bien de dire que la clé n'était pas la bonne car elle tournait dans le vide, mais BAYANIS n'écoutant que sa conscience et son envie de vérifier si le casier n'était pas vide et opérationnel, préféra  battre en retraite en reconnaissant qu'ils n'avaient pas été très bons sur ce coup.

Leur dernière ligne de défense consistant à mettre en cause la pénombre du bureau.

Argument vite balayé par le président qui leur conseilla, à l'avenir, d'utiliser l'interrupteur pour obtenir la lumière.

Cette lumière si importante de nos jours, indispensable à tous les citoyens dans les traversée nocturnes des villes et villages français ...

Mais c'est un autre débat !!

La semaine dernière, c'était l'anniversaire d'Olivier. Ce dernier, en gentleman, avait convié les coachs présents à l'entrainement à un petit arrosage bien sympathique.

Il en profitait pour faire la promotion des produits du terroir de l'Est de la France.

Au menu : bretzel, saucisses de Morteau, Fromage de Comté et vin d'Alsace.

C'est pour le vin que les difficultés sont apparues, car impossible de trouver un tire bouchon dans la salle de réunion.

Heureusement, Laurent (Mc Gyver) allait intervenir de façon efficace.

Boite à outils, vis à bois, tenaille et la bouteille était ouverte en moins de cinq secondes, Laurent avait sauvé l'Alsace et la Lorraine.

Revenons au match des féminines, dimanche après midi.

Comme les seniors ne jouaient pas, Mick BRAGA était venu voir comment se débrouillait son épouse dans son nouveau rôle de « conseillère-coaching détachée sur le banc de touche avec mission spéciale de l'observatoire des statistique FFF » et, accessoirement Â… déléguée du match.

Mick, peut être jaloux des nouvelles fonctions de son épouse, acceptait de tenir le rôle de juge de touche et voulant montrer toute sa bonne volonté, se chargeait d'échauffer la gardienne avant le début du match.

Un bon moyen, aussi, de vérifier son efficacité devant les buts, lui, qui totalise 4 buts pour 30 occasions depuis le début de saison en seniors !!!

On ne saura jamais l'influence de l'échauffement sur la prestation de Laurianne lors du match, mais l'impact sur l'état des chaussures de Mick aura été immédiat.

Direction Â… Poubelles !!!

Au grand dam de Delphine qui aura bien du mal à admettre que la godasse n'était pas réparable et que l'autre, bien qu'épargnée n'avait plus aucune utilité !!!

Enfin, pour finir, un cliché complètement surréaliste prit par nos caméras de surveillance dans le  local matériel.

Deux hypothèses :

1. Romain s'est fait attaquer par deux mannequins, et après une lutte sévère, il en est venu à bout.

2. L'un des deux mannequins a été prit d'un malaise et a claqué dans les bras de Romain avant l'arrivée des secours.

Toute autre hypothèse sur les relations entre Romain et ses mannequins n'engagent que leurs auteurs !!