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Dans cette rubrique, chaque saison les caisses de maillots sont àl'origine de quelques mésaventures.
Oubli au stade, oubli à l'extérieur, nombre incomplet, mélange de maillots ou shorts emportés par mégarde etc.
Dimanche dernier, un véritable imbroglio a eu lieu entre les féminines et les seniors.
L'équipe III s'est déplacée à Essertines avec le jeu des féminines.
Ces dernières, qui recevaient Grand Croix Lorette, ont cherché, en vain, leur caisse avant de se résoudre à piocher dans le stock des maillots non utilisés. Quand on connaît l'attachement de nos féminines à leurs tenues fétiches (inaugurées cette saison), il est peu de dire qu'elles étaient bien contrariées.
A Essertines, par contre, c'était la stupéfaction.
1. Comme nos féminines jouent à huit, il n'y avait pas assez de maillots pour nos seniors.
2. Les tailles étaient un peu trop petites pour nos solides gaillards de l'équipe III.
3. Que pensez du fait que ces mêmes solides gaillards se retrouvaient avec des équipements dont le sponsors est une boutique de lingerie féminines située à Montbrison ?
Notre ami Néné décidait de repartir en urgence à Moingt pour effectuer un changement d'équipement pendant que les joueurs s'échauffaient en tenues improvisées.
Au grand bonheur des féminines qui retrouvaient les maillots qu'elles redoutaient avoir perdus.
Dans sa précipitation, Néné prenait une caisse de vieux maillots et ce n'est qu'une fois revenu à Essertines, qu'il s'aperçevait qu'il n'y avait pas ne numéro 14. Le maillot du Milan AC d'un des joueurs, trafiqué par une charmante supportrice avec du gros scotch fera finalement l'affaire grâce à la bienveillance de l'arbitre.
La seule question qui intéressait tout le monde, dimanche soir était de savoir comment Pacôme avait pu se tromper de caisse.
L'enquête aura été vite résolue et, avant que le SAV ne s'en saisisse, nous sommes en mesure de vous dire que la mauvaise caisse a été donnée à Pacôme par ... le président en personne.
Un président qui n'avait pas hésité, dans l'après midi, à rechercher ardemment cette même caisse pour les féminines, tout en râlant sur le fait que les dirigeants rangeaient les maillots n'importe comment !!!

L'un des postes les plus importants dans un club est celui de secrétaire, véritable homme à tout faire.
Yves, le très compétent secrétaire de l'Usem, ne déroge pas à la règle. Il connaît par coeur les arcanes du district et de la ligue et les demandes de licences n'ont plus de secret pour lui.
Mais nul n'est tenu à l'impossible et on l'a vu, dimanche matin, en galère complète avec la cafetière. Les dirigeants présents comptait sur lui pour se réchauffer mais la durée entière de la mi-temps n'a pas suffi pour qu'il prépare le café tant espéré.
A la grande surprise de tous, quand on sait sa dextérité pour servir certain des breuvages qu'il collectionne dans sa célèbre cave.

Mardi, premier jour de foot Vacances de février avec une vingtaine de gamins et gamines présente.
Au programme, sports diversifiés au gymnase (futsal, hand, rugby, volley, basket).Après la pause de midi il était prévu une découverte du patrimoine préparée par Jean Pierre, avec visite du musée d'Allard et quizz sur les statues qui hantent le jardin d'Allard.
Mais quand ça ne veut pas ....
Le musée était fermé et, exceptionnellement, ne pouvait pas accueillir de groupe et les travaux entrepris dans le jardin d'Allard empêchaient l'accès aux statues.
Il fallait donc improviser. Jean Pierre proposait donc une promenade avec observation et explication de la fresque du jardin d'Allard et le président envoyait les groupes à la découverte des arbres répertoriés dans ce même jardin, dans la partie ouverte au public.
Pour cela, le président botaniste a passé une partie du matin à inventorier les arbres identifiés par des panneaux.
Alors qu'il déambulait armé d'un bloc et d'un stylo, une dame qui promenait son chien l'a observé quelques minutes avant de s'approcher et de lui demander sèchement, si par hasard, il n'était pas en train faire la liste des arbres que la mairie voulait abattre.
Devant le ton cassant de la question et sentant bien que la dame était prête à un vif débat sur la préservation arboricole de Montbrison, le président s'est empressé de lui expliquer son action avant de battre rapidement en retraite.