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Aujourd'hui, nous allons commencer par l'histoire d'un rendez vous manqué.

L'info avait courue sur les réseaux sociaux qu'un grand défi sous forme de duel devait opposer, deux figures emblématiques du club : Viala et Bayanis.

L'épreuve proposée était une course entre les deux cages du terrain de Moingt.

De quoi inquiéter l'entourage des deux loulous car, en ce début de saison, bien difficile d'estimer leur degré de forme.

Les commentaires allaient bon train, et certains paris commençaient à fleurir sous le manteau.

Vendredi, sous le coup de 18h, déjà, quelques supporters se présentaient au stade.

Soudain, l'un des gladiateurs (Bayanis) fit son entrée, saluant la foule de ses fans.

Tenue de sport et chaussure affutées, il était prêt, assisté d'Yves dans le rôle du soigneur au cas ou …...

Mais les minutes passaient et… Il fallut se rendre à l'évidence, il n'y aurait pas de duel faute de combattant.

Connaissant  le sens de l'honneur de Viala, on pouvait se montrer surpris et inquiet.

Après enquête, il apparut que Viala, son assistant Rosco, et tout son fan club, étaient coincés par les embouteillages, place de la Mairie à Montbrison.

Refusant la victoire par forfait, Bayanis acceptait le report du match.

Les deux adversaires, se mirent d'accord au téléphone pour reporter ce combat du siècle, à une date ultérieure, avec, peut être, de nouvelles règles.

Affaire à suivre.

 

Pour le reste, avec la reprise des matchs, nous avons eu droit à quelques situations amusantes sur et, autour des terrains.

 

Le weekend passé, Pacôme, coach de l'équipe III, qui ne connaissait pas encore tous les joueurs convoqués, annonçait sa composition d'équipe dans les vestiaires en concluant : « et pour finir, Arthur en pointe ».

L'Usem avait-elle réussi lors du mercato à attirer le célèbre attaquant breton Pendragon ??

Non, en fait, il s'agissait d'une des nouvelles recrues prénommée, Martin beaucoup plus connu dans la cité médiéval de Bard qu'au royaume de Bretagne.

 

Parmi le matériel dispo au stade, de nombreux éducateurs utilise le tableau métallique pour expliquer les tactiques de jeu.

Samedi matin, Anthony eu la mauvaise surprise de le récupérer avec des annotations déjà inscrites au feutre indélébile.

Tous ses efforts pour le nettoyer restant vain, on fit appel à Laurent le Mc Gyver du Forez.

Ce dernier, réussit sa mission à l'aide …d'une ... bombe aérosole… contre les insectes rampants.

Le résultat fût plutôt satisfaisant et en plus, la salle de réunion a été parfumée pour tous le weekend et on est tranquille pour deux ans sans voir la queue d'un cafard ou d'une fourmi.

 

Samedi après midi, début pour les U.13, avec une nouvelle répartition des coachs au sein du staff.

L'occasion d'admirer  le duo Lolo-Juju s'appliquant tel de bons élèves pour remplir les feuilles de match.

L'occasion, aussi, pour Juju et Chat de prendre le sifflet sur le terrain.

Avec des prestations assez controversées. Juju, trop court physiquement, ne pouvant suivre le rythme et oubliant quelques hors jeu flagrants, et Chat réussissant l'exploit de siffler hors jeu sur un corner (aberration dont seul la VAR peut être capable ….)

Enfin, Juju exténué après son arbitrage et ayant besoin de reprendre des forces, ne lésina pas sur le goûter, finissant les chocos laissés par les gamins,… arrosé d'un bon bol … de bière. Un remède miracle des campagnes éloignées de la région de Leigneux.

 

Samedi soir, les premiers joueurs seniors arrivés au stade furent tout surpris de se retrouver seuls alors que d'habitude ils sont souvent les derniers. En fait, coach Romain s'était trompé d'une demi heure sur les convocations. Kiki, en bon coach adjoint, essaya bien d'expliquer que c'était volontaire afin que les joueurs gardent leur influx nerveux en limitant l'attente d'avant match, il semble bien que cette erreur mérite une petite amende !!!

 

Dimanche matin, pour les U.15, nous avons eu droit à une prestation de haut niveau de la part de Magic dans le rôle de délégué. Au coup d'envoi, comme il manquait un drapeau de corner, il dû partir le chercher au sprint dans la salle de matériel. A peine le drapeau en place, l'arbitre lui demandait de faire passer les enfants derrière la main courante, à l'autre extrémité du terrain. Levant les bras au ciel, Magic repartait dans un nouveau sprint pour remplir cette mission.

Deux gros sprints, un dimanche matin,… il n'en fallait pas plus pour qu'il s'écroule sur le banc des délégués et reste les bras en croix jusqu'à la mi temps. Un vrai Mickey épuisé !!!

 

Malgré son état de fatigue, il nous a rapporté une anecdote concernant coach Emeric.

Ce dernier a demandé à l'un de ses joueurs de bien se démarquer sur un coup franc.

Pour ce qui est de se démarquer,... il n'‘y pas eu de problème puisque le joueur en question était sagement … assis sur le banc de touche.

Une méprise qui l'a peut être perturbée car son coaching a été à l'origine direct de l'une des égalisations de l'équipe adverse.

Alors que l'un de ses joueurs se remettait d'une blessure, coach Emeric se lançait dans un discours à l'intention de ses troupes.

Les joueurs attentifs, laissant les adversaires jouer rapidement le coup franc pour s'en aller marquer. 

Une erreur indigne d'un vieux routier du coaching qui sera sans conséquence pour son équipe qui s'imposera pour la seconde fois en deux matchs de championnat.