Après une trêve, assez surprenante, qui n'a vu aucun fait notoire mériter sa place parmi les anecdotes.
Fallait-il s'en inquiéter ou s'en féliciter ? L'important est de garder une ligne éditorialiste cohérente et de ne pas abreuver nos lecteurs d'informations de peu d'intérêts comme le fait, malheureusement, trop souvent le tout nouveau SAV du club.
Cette semaine, le club avait décidé d'autoriser la vente de vin chaud lors du dernier week-end de championnat.
Il avait été, tout naturellement, fait appel à Cédric, dernier né d'une grande lignée de spécialistes dont la renommée a largement débordée le village de Bard. Une recette dont les CHATAIN gardent jalousement les secrets.
Mais à voir la moue de François, samedi soir, il semble bien que Cédric n'a pas tout à fait respecté les proportions. Un crime de lèse majesté qui va certainement se régler en famille.
Pour revenir à la préparation, Cédric avait choisi deux aides cuisiniers pour l'assister. Néné et Bayanis, aussi à l'aise pour le seconder que pour goûter et valider le breuvage sacré.
En ce qui concerne l'organisation il fallait installer un réchaud à gaz dans la buvette.
Vendredi soir, à la tombée de la nuit, quelques témoins ont pu observer un manège surprenant.
Cédric et Bayanis transportant une première bouteille de gaz, s'enfermant dans la buvette puis repartant chercher une seconde bouteille de gaz et bis repetita. Après enquête, il s'avère que la première bouteille était vide.
Alors qu'on les chambrait gentiment, Cédric a déclaré ne pas savoir différencier une bouteille vide d'une pleine.
On a eu beau lui dire que c'était le même principe que les fûts de bière, suivant leurs poids, il n'a pas paru convaincu.
Le gaz serait-il sujet à l'apesanteur ? Ou la séance de contrôle dégustation, qui avait précédé l'installation, avait-elle eu des effets néfastes sur la gravitation et les masses théoriques de l'esprit de nos deux acolytes ?
Abandonnons la physique pour le calcul et la géométrie.
Samedi matin, le club organisait un plateau U.9 et attendait dix équipes de gamins pour ce dernier rdv de l'année.
Alors que Doudou, maître de cérémonie, s'occupait des plannings, feuilles de matchs et goûters, une équipe composée de Nico, Bernard et Gérard s'en allait tracer les cinq terrains nécessaires.
A l'aide de plots, galettes, constri-foot et quilles, notre trio arpentait le synthétique à grands pas, afin de respecter les mesures préconisées par les instances. Au bout de trois quart d'heure, les cinq terrains étaient prêts pour accueillir les bambins.
Au moment de donner le coup d'envoi, Doudou, du rond central, faillit avaler son sifflet.
Les cinq terrains étaient bien là , mais sur l'un d'eux il n'y avait ... qu'une seule cage !!!!
Le trio magique eût beau essayer de se dédouaner en affirmant qu'on avait dû leur en piquer une (sic) ou qu'elle avait été détruite par les enfants, Doudou fut guerre convaincu.
En fait il y a une règle mathématique qu'il faut toujours respecter : Nbre de cage = Nbre de terrain x 2
Ce week-end, l'utilisation des tablettes numériques pour les matchs seniors adonné lieu à deux péripéties assez saugrenues.
1. Pour l'équipe fanion, à St Joseph ou l'arbitre n'a pas pu valider le matchs car les dirigeants du match de lever de rideau était parti avec la tablette du second match !!!
2. A Moingt pour l'équipe III ou le dirigeant des visiteurs n'a pas réussi à consigner une réserve technique en moins de 45 minutes. Passé ce délai, l'arbitre a sifflé la fin du match et les joueurs ont regagné les vestiaires !!!
Dans les deux cas, on s'est retrouvé (tablette de) chocolat !!!
Enfin, une discussion type des débats qui animent les troisième mi temps.
Le sujet étant les différents styles vestimentaires et le jeans troué que portait Niggs ce jour là .
Néné qui est l'élégance même du club était abasourdi par ce pantalon, lui rappelant les soirée haut chic bas choc organisée par le club, il y a quelques années.
Conflit de générations ou sens esthétique ?
Mode passagère, tendance haut de gamme ou problème d'aération, la question mérite d'être posée.
Voir photos ci dessous.
